Gilles Carrez, le président UMP de la commission des finances de l’Assemblée, s’alarme lundi des déficits publics, parlant de « faute professionnelle » du gouvernement et jugeant l’état de la France « infiniment plus grave » qu’en 2012…
Effectivement, il y a de quoi, et le constat est vrai, cela dit sous la présidence Sarkozy la dette de l’État a été considérablement alourdie, mais alors considérablement puisqu’il s’agit de plusieurs centaines de milliards d’euros. Rien que ça. Il arrive un moment où l’accumulation devient telle que plus rien n’est possible.
Charles SANNAT