Voici ce que nous apprend cette dépêche AFP : « Le trafic de drogue et la prostitution ont contribué au produit intérieur brut britannique de l’ordre de 8,5 milliards de livres (10,9 milliards d’euros) en 2013, a-t-on appris mardi auprès de l’Office national des statistiques (ONS).
Une porte-parole de l’ONS a précisé à l’AFP que la drogue et la prostitution représentaient environ 0,5 % de la « richesse produite globale », telle que mesurée par le PIB.
À titre de comparaison, en Espagne l’institut national de la statistique (INE) a estimé que ces activités avaient représenté 0,85 % du PIB en 2010, seule année où elle a fourni une estimation de leur ampleur. Cette année-là, elles avaient atteint quelque 9,2 milliards d’euros ».
La drogue et les putes c’est plus que bon pour booster le PIB… Pathétique, car dans le cas de l’Angleterre, il faut savoir que sur un taux de croissance de 1,7 % de l’économie britannique, ces « moments de plaisir » représentent tout de même 0,5 % de PIB soit une croissance nette de drogue et de putes de 1,2 % et encore, en ayant fait marcher la planche à billets de sa royale majesté.
Il n’y a vraiment pas de quoi pavoiser.
Charles SANNAT