Comme il n’y a vraiment pas de croissance et que les dettes des pays européens explosent, nos grands mamamouchis n’ont rien trouvé de mieux que de réformer le calcul du PIB en prenant en compte, tenez-vous bien, le trafic de drogue et la prostitution dans leur PIB… Là, c’est sûr que la croissance va repartir…
Mais en revanche, j’ai une question : en interdisant la prostitution, la Belkassine vient de nous ôter une belle perspective de reprise économique.
Charles SANNAT