Ha… le miracle anglais tant vanté grâce aux « refôôôôrmmmeus » du marché du travail.
Ha… La croissance anglaise…
Ha… la misère anglaise aussi…
Mais surtout la reprîîîîîse anglaise… Eh bien il semblerait que tout cela patine un peu finalement.
Cette dépêche de l’AFP vous apprend que « la croissance du produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a fortement ralenti à 0,3 % au premier trimestre après 0,6 % au quatrième trimestre de 2014, selon une première estimation de l’Office des statistiques nationales (ONS) publiée mardi juste avant les élections ».
Évidemment, ce « chiffre est bien inférieur aux prévisions des économistes, qui attendaient un ralentissement à 0,5 % selon un consensus établi par Bloomberg, et représente un coup dur pour le gouvernement du Premier ministre conservateur David Cameron à l’approche des élections législatives du 7 mai, qui s’annoncent très serrées ».
Le problème c’est que si tout le monde est à chaque fois surpris, nous les contrariens… on s’y attendait. Il faut dire que nous sommes à la fois dotés d’une boule de cristal et d’une intelligence supérieure… Ha non, on me glisse dans l’oreille qu’on sait juste lire, qu’on ne se ment pas… et que l’on est juste tout plein de bon gros bon sens à l’ancienne….
Charles SANNAT