Pour le ministre grec des Finances, Yannis Stournaras, la Grèce va « œuvrer pour parvenir à à tout prix à un excédent budgétaire primaire en 2013 afin de pouvoir justifier une nouvelle restructuration de sa dette par ses prêteurs institutionnels UE, BCE et FMI ».
En effet alors que l’on a sauvé la Grèce déjà plusieurs fois depuis 5 ans en disant à chaque fois droit dans les yeux aux contribuables européens, que cette fois-ci c’était la dernière fois, et malgré toutes les opérations de réduction de dette déjà opérées, en 2014, la dette pourrait s’envoler à 190% du PIB, selon les estimations, si rien n’est fait!
Comprenez par si « rien est fait » qu’il va juste falloir encore une fois de plus annuler les dettes des grecs… à moins que pour ce nouveau plan de sauvetage on applique la recette chypriote.
Grecs… pensez à sortir un peu d’argent de la banque!
Charles SANNAT