C’est un article du Monde qui revient sur les déclarations du président de la Banque centrale allemande, Jens Weidmann.
Ce dernier à mis la pression sur Paris, en demandant à la France de « tenir ses engagements budgétaires sans reporter l’objectif de réduction du déficit public à 3 % du PIB ».
Si pour lui il « est certainement vrai qu’il est plus difficile de tenir les objectifs de déficit dans un contexte de faible croissance économique ».
Le président de la Bundesbank a également défendu les bienfaits de la rigueur budgétaire germanique et a salué les efforts réalisés par la France avec par exemple l’accord social sur le marché de l’emploi qui ne peut que plaire à nos « zamis » allemands puisqu’il va dans le sens d’une précarité accrue.
Charles SANNAT
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