« Elles avaient été éditées en 2012 à l’occasion de la Nuit blanche à Paris. L’institution réagit à l’agression d’un vendeur de la boutique de Booba, à laquelle son rival Rohff a pris part. »
Alors je vais jouer mon « vieux con » quelques instants, mais que la monnaie de Paris honore ce type d’imbéciles heureux, incultes et véhiculant évidemment une forme extrême de violence est en soi assez surprenant.
Une vénérable institution n’a pas à céder aux sirènes de la bien-pensance « bisounoursesque » où tout est censé se valoir. Non, « Booba » n’est pas et ne sera jamais Mozart, cela n’empêchera nullement à ceux qui « aiment » d’aimer et c’est tant mieux, mais ne soyons pas stupides ni démagogues au point de croire que tout se vaut car c’est tout simplement faux !
Parce que pour l’instant, la seule médaille que méritent ces types est celle de la bêtise !
Charles SANNAT