Comme certains Français dynamiques, qui en ont plus qu’assez, décident de se carapater ailleurs pour se faire tondre à moindre coût, au lieu de se demander pourquoi nos « entreprenants » s’enfuient en masse, notre administration et nos mamamouchis se demandent plutôt comment les taxer même quand ils sont loin de chez nous !
C’est donc une information assez édifiante rapportée par cet article des Échos dans lequel on apprend que « lundi, les députés ont voté le droit, pour la France, d’imposer comme elle le souhaite ses ressortissants en Andorre. Cet embryon d’impôt sur la nationalité bafoue les principes sur lesquels notre système fiscal est fondé »…
Si pour le moment cela ne concerne que les ressortissants français andorrans, nul doute que face au succès, ce type de mesure devrait bien vite être étendu afin qu’aucun Français, où qu’il se cache, ne puisse échapper à la tonte.
Charles SANNAT