« Nous n’entrerons pas dans la zone euro sans modifier la Constitution », « or, nous ne disposons pas de la majorité requise pour cela ni actuellement, ni (nous n’en disposerons), selon mon intuition, dans le futur parlement », élu pour quatre ans, a déclaré Donald Tusk, rappelant ainsi l’obstacle juridique qui bloque, d’après les constitutionnalistes, l’adoption de l’euro en Pologne. »
Ou plus prosaïquement, le gouvernement polonais, peut-être un peu moins bête que d’autres, attend patiemment que la crise de l’euro (censée être finie) trouve sa résolution définitive avant de rejoindre l’euro… Ce serait assez logique et plein de bon sens.
Il est urgent d’attendre.
Charles SANNAT