Enfin, il est vrai qu’avec toute la reprise qui nous assaille et la croissance sous laquelle nous ployons, il était indispensable que le G20 se réunisse pour « stimuler la croissance économique »… qui, malgré tout ce que l’on dit, en a bien besoin!

Peut-être que les masses finiront par accepter le fait qu’il n’y a plus de croissance économique, qu’il s’agit là d’un changement majeur et qu’il faut à titre individuel s’y préparer au mieux. Il faut s’adapter au monde avant que vous ne deviez trop le subir.

Préparez-vous.

Charles SANNAT

ISTANBUL, 10 février (Xinhua) – La réunion du groupe du G20 s’est poursuivie mardi alors que les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales essayaient de trouver un moyen de stimuler la croissance économique mondiale morose.

La réunion de deux jours s’est ouverte lundi sous la présidence de la Turquie pour la première fois en 2015.

Les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales ont pour mission de coordonner leurs actions en vue de stimuler la croissance économique mondiale.

Les réformes structurelles figurent parmi les priorités de la réunion, les membres du G20 s’étant engagés à travailler sur quelque 1 000 dossiers de réforme.

Dans un discours, le vice-Premier ministre turc et ministre des Finances Ali Babacan a indiqué que l’économie mondiale connaîtrait une hausse de 2 % d’ici 2018 lorsque les réformes promises seraient mises en place.

Deux autres sujets importants au programme des discussions sont l’investissement et le principe d’inclusion.

M. Babacan a souligné que son pays mettrait l’accent sur l’investissement dans les infrastructures en vue de promouvoir la croissance.

La réunion a rassemblé l’ensemble des membres du G20. La Turquie a également invité l’Azerbaïdjan ainsi que la Malaisie.

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