« Le pire est rarement certain », voilà le titre d’un article de l’AGEFI écrit par le chef économiste d’UBS Wealth Management.
Je ne peux pas vous reproduire cette tribune pour des questions de propriété intellectuelle mais ceux qui veulent iront le lire sur le lien ci-dessous.
Mon impression ? Comme souvent un titre très rassurant mais un article qui l’est nettement moins si l’on prend le temps de le lire.
L’auteur tire à boulets rouges sur les « pessimistes » mais ne nous explique pas vraiment comment être… optimiste.
Cela donne un exercice de style assez hilarant.
Alors effectivement le pire est rarement certain (quoique j’en doute), en revanche à vouloir démontrer l’indémontrable on passe vite pour un crétin !
Mon passage préféré ? C’est celui-là :
« Ne me comprenez pas de travers. Je ne fais pas du tout ici dans l’optimisme. La situation économique des pays occidentaux est déjà suffisamment mauvaise ! Et elle est même carrément désastreuse dans la périphérie de l’Europe. Il n’y a donc pas vraiment besoin d’en rajouter »…
Finalement, il vaudrait peut-être mieux se préparer au pire !
Charles SANNAT
Lire ce sublime article sur le site de l’AGEFI