C’est un article de La Tribune qui nous explique que « les exportations ont déçu les analystes en ne progressant que de 9 % en février. À ce rythme, la progression des exportations ne suffira pas à compenser la hausse prochaine de la taxe sur la consommation de 5 à 8 % qui doit entrer en vigueur le mois prochain.
Faute de relance du nucléaire civil, d’une hausse des salaires conséquente et de réformes visant à attirer les investisseurs, les Abenomics semblent n’avoir que des conséquences négatives sur le Japon ».
En clair, la politique monétaire japonaise ne fonctionne pas, ce qui était prévisible et que nous avons toujours indiqué dès le départ.
Charles SANNAT