Article très cocasse des Échos qui nous explique que l’Italie a ouvert une enquête sur les dégradations de sa note par les agences de notation et menace de leur réclamer des sous en dommages et intérêt de l’ordre de 117 à 234 milliards d’euros…
Il ne viendrait pas à l’idée des Italiens, enfin des dirigeants italiens, de se demander pourquoi leur note baisse ? Des décennies de mauvaise gestion, cela laisse des traces et maintenant il faut payer. Pour l’Italie comme pour la France, les agences de notation ne sont pour rien dans notre endettement… Elles sont un thermomètre et casser le thermomètre n’a jamais fait baisser la fièvre…
Charles SANNAT