Après des résultats semestriels décevants, Carlos Ghosn met en place un triumvirat à la direction du japonais, sur le modèle de ce qu’il a fait en France en septembre… En d’autres lieux, cela portait le nom de purge.
Carlos Ghosn ne supporte pas et n’accepte pas la contradiction et les contre-pouvoirs. Difficile donc de déléguer ses prérogatives puisqu’il souhaite régner sans partage sur le Groupe Renault-Nissan.
Carlos Ghosn n’a jamais prouvé ni montré ses capacités soi-disant hors normes de chef d’entreprise dans le gros temps. En effet, Renault ne doit en réalité son salut que grâce à une intervention financière de l’État français de plusieurs milliards d’euros.
Pour le moment, la stratégie du développement de modèles électriques est de surcroît un échec cuisant, sans oublier la fameuse histoire d’espionnage bidon chez Renault…
Le seul talent de ce patron semble donc de savoir créer sa légende… rien de plus.
Charles SANNAT
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