Comme vous le savez, j’aime bien l’indice Big Mac. Je l’aime bien d’ailleurs pour ce qu’il est, à savoir un élément supplémentaire de réflexion et d’appréciation de réalités économiques parfois difficiles à appréhender.
Aujourd’hui, c’est le magazine Challenges qui revient sur les limites de cet indice. Toujours utile à avoir en tête.
Charles SANNAT
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