« Nul ne croit plus que la raison l’emportera sur des politiques d’austérité insensées, ni que la morale préviendra les scandales mêlant argent et pouvoir. Désormais, l’espoir d’un changement de direction repose sur la mise en cause frontale des intérêts en jeu. »

Mise en cause frontale. Je partage cet avis exprimé dans un excellent article du Monde Diplomatique concernant les inégalités criantes et qui ne peuvent plus être supportées plus longtemps par une grande majorité des peuples.

Je vous en laisse en prendre connaissance. L’idée principale de la mise en cause frontale semble juste, tant les mouvements pacifistes ont tous été réprimés finalement beaucoup plus durement que ce que l’on pouvait imaginer, montrant le véritable visage de soi-disant démocraties complètement vendues aux pouvoirs financiers, et des hommes politiques qui ne sont plus que des représentants délégués de classe des multinationales qui ont su prendre le pouvoir, le véritable pouvoir.

Charles SANNAT

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