C’est un article de l’organe officiel du parti unique, puisqu’il s’agit de Libération.
« Face au déluge de documents communiqués via l’ancien consultant américain de la NSA, Edward Snowden, au cœur d’un imbroglio mondial digne des meilleurs romans d’espionnage, Bruxelles a averti même de possibles conséquences sur la négociation d’une zone de libre-échange transatlantique. »
« Entre partenaires, on n’espionne pas ! », a lancé dimanche au Luxembourg la commissaire européenne à la Justice, Viviane Reding. « On ne peut pas négocier sur un grand marché transatlantique s’il y a le moindre doute que nos partenaires ciblent des écoutes vers les bureaux des négociateurs européens », a-t-elle estimé, en réclamant que les États-Unis «dissipent ces doutes très rapidement ».
Comme il y en a qui comprennent vite mais à qui il faut quand même expliquer longtemps, les Zaméricains ne sont pas nos copains, et ils veulent juste nous faire les poches. Négocier dans ces conditions n’est évidemment pas tâche facile.
Et si nous annulions les négociations ? Voilà qui serait une excellente idée et qui nous épargnerait bien de futurs désagréments.
C’est donc une bataille de titans qui se joue, avec des intérêts divergents multiples pour faire échouer cet accord.
C’est en tout cas une bonne nouvelle qu’il y ait bien des combattants pour s’opposer à cette idée stupide d’accord de libre-échange qui signera la mort de l’Europe et de l’ensemble des nations européennes, qui ne seront plus que des vassaux de Washington.
Vive la République, vive la France !
Charles SANNAT
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