Selon le site Boursier.com, « alors que la Commission européenne est en train d’examiner les budgets des États membres pour l’année 2015, Eurostat vient de publier les dernières statistiques relatives aux déficits publics. À la fin 2013, il s’établissait à 2,9 % du PIB pour la zone euro et à 3,2 % pour l’UE28.
Parmi les États membres, seuls le Luxembourg et l’Allemagne affichaient un excédent budgétaire, de respectivement +0,6 % et +0,1 %. À l’inverse, la France faisait partie des dix pays dont le déficit était supérieur à 3 %, soit la limite fixée par le Pacte de stabilité. Avec un déficit à 4,1 % (révisé de 4,3 %), Paris figurait toutefois loin derrière la Slovénie (-14,6 %), la Grèce (-12,2 %) ou encore l’Espagne (-6,8 %) ».
Tout de même 12,2 % pour la Grèce qui est sauvée (j’en rigole encore), 6,8 % pour l’Espagne qui va mieux (la bonne blague) et le pompon à presque 15 % pour la Slovénie… Euh, franchement, on n’est pas bien. Mais en définitive, quelles sont les raisons d’espérer ?
Charles SANNAT