Pour Christine Lagarde, « l’Europe se redresse, mais la crise est loin d’être terminée », et demande à la BCE de soutenir plus fortement la croissance, car l’inflation de très faible niveau est porteuse de « risques supplémentaires ».
Pour Lagarde, les dangers de la crise ukrainienne sur la croissance mondiale sont réels. Et si en plus on se fait une 3e Guerre mondiale, là c’est sûr que l’on réglera tous les problèmes de surpopulation et de chômage… La crise ukrainienne semble être un excellent alibi pour justifier une économie qui patine.
Charles SANNAT
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